Salle Antoine Vitez
TP12 € -TR8€, -de 26 ans, étudiants, RSA, chômeurs, personnes en situation de handicap
La chanson est une source historique à part entière.
Art populaire, art social, elle témoigne de la société de son temps. Ainsi que l’exprime Serge Bernstein, elle est une forme d’expression culturelle qui s’adresse à tous, et qui permet d’étudier la manière dont une société a vécu tel ou tel événement.
Il est des chansons qui font l’histoire et des chansons qui disent l’histoire…
Que nous dit la chanson de ce que connaît la société française d’après-guerre de la Shoah?
Quelles évolutions cette mémoire connaît-elle de 1946 à aujourd’hui ?
Trois chanteurs, un musicien et une intervenante, contextualisent et interprétent des chansons qui sont autant de marqueurs de l’évolution de l’histoire de la mémoire de la Shoah en France. Les auteurs de ces textes : Jean Ferrat, Pierre Selos, Maurice Fanon, Silvain Reiner, Barbara, Serge Gainsbourg, Jean-Jacques Goldman, Georges Coulonges, Louis Chedid, Claude Lemesle, les Rita Mitsouko, Pierre Perret, Éric Marty, Anne Sylvestre, François Morel…
« Si l’on veut connaître les hommes, je crois sincèrement qu’il faut étudier leurs chansons, au même titre que leurs monuments, leurs outils et leurs livres. »
Claude Duneton (1998)
Tiziana Valentini / Les Valseuses (69)
De la chanson au jazz en passant par le hip-hop et le punk!!!
Des histoires urbaines, des expériences de vie, des joies, des peines et des délires qui racontent la société actuelle et ses contradictions…
Chanté toujours avec les tripes, quand le français n’est pas sa langue maternelle, un mélange plein d’émotions qui provoque une certaine franchise, une naïveté, une crudité.
Quand la Chanson se souvient de la Shoah / Scène nationale d’Orléans (45)
Salle Antoine Vitez
TP12 € -TR8€, -de 26 ans, étudiants, RSA, chômeurs, personnes en situation de handicap
La chanson est une source historique à part entière.
Art populaire, art social, elle témoigne de la société de son temps. Ainsi que l’exprime Serge Bernstein, elle est une forme d’expression culturelle qui s’adresse à tous, et qui permet d’étudier la manière dont une société a vécu tel ou tel événement.
Il est des chansons qui font l’histoire et des chansons qui disent l’histoire…
Que nous dit la chanson de ce que connaît la société française d’après-guerre de la Shoah?
Quelles évolutions cette mémoire connaît-elle de 1946 à aujourd’hui ?
Trois chanteurs, un musicien et une intervenante, contextualisent et interprétent des chansons qui sont autant de marqueurs de l’évolution de l’histoire de la mémoire de la Shoah en France. Les auteurs de ces textes : Jean Ferrat, Pierre Selos, Maurice Fanon, Silvain Reiner, Barbara, Serge Gainsbourg, Jean-Jacques Goldman, Georges Coulonges, Louis Chedid, Claude Lemesle, les Rita Mitsouko, Pierre Perret, Éric Marty, Anne Sylvestre, François Morel…
« Si l’on veut connaître les hommes, je crois sincèrement qu’il faut étudier leurs chansons, au même titre que leurs monuments, leurs outils et leurs livres. »
Claude Duneton (1998)
Amuse-Gueules / Salle Pierre Quivaux (45)
Un trio d’explorateurs de la chanson cabaret des années 20 à nos jours, au travers d’un répertoire éclectique, intime et convivial. Un moment à partager en musique et en textes, drôles, tristes, acides et touchants comme les personnages qu’ils décrivent.
De Jean Yanne aux Nonnes Troppo, en passant par Juliette, Gilles, ou les Frère Jacques, une suite d’histoires et d’ambiances à une, deux ou trois voix, au son de la guitare. Des chansons comme des tranches de vie, à déguster sans modération !
CINQ / Les Bains-Douches (18)
CINQ / Espace Jean Vilar (94)
CINQ / Centre Culturel Robert Margerit (87)
Jean Yanne, Bach to Twist / Espace culturel Montission (45)
Pendant plus de quarante ans, Jean Yanne s’est promené en homme libre dans le paysage radiophonique, télévisuel et cinématographique français.
« Je me presse de rire de tout de peur d’être obligé d’en pleurer. » Beaumarchais
CINQ / Le TRAIN THÉÂTRE – Porte-lès-Valences (26)
Le plus souvent c’est seuls qu’ils écrivent et composent ; seuls qu’ils se produisent s’accompagnant eux-mêmes :
Imbert-Imbert le contrebassiste-chanteur dont la plume-métronome oscille sur fond de révolte de la nostalgie des hiers à des lendemains possiblement heureux .
Nicolas Jules le « powête » désobéissant qui croque à l’envi pommes, figues sucrées et raisins amers .
Chloé Lacan la multiple – la diva, la farceuse, la rebelle – qui nous promène à son bon gré de ris en pleurs .
Valérian Renault l’auteur exigeant pour qui l’écrit est vital et dont le cri nous est providentiel.
Guilhem Valayé, enfin, le conteur, étrange troubadour de nos temps supersoniques qui nous offre le luxe d’une délicatesse assumée.
Aujourd’hui, CINQ c’est le bonheur d’avoir pu réunir la fine fleur de la nouvelle scène française lié à l’étonnement d’une première fois :
les « cinq mousquetaires des cinq doigts de la main » tournant la manivelle de nos boîtes à bonnes chansons. Prévert n’est jamais loin ni Verlaine ni Vian. Un set à cinq qui tendrait à prouver que « la solitude ça n’existe pas ? »
Les Suivants jouent Brel / Salle de l’AGORA – Lavaur (82)
Les Suivants, c’est la rencontre de Baptiste Dubreuil, pianiste jazz, et de Valérian Renault, interprète virtuose. Deux artistes partageant un goût prononcé pour Jacques Brel, et qui ont l’audace d’arranger et d’interpréter, à leur manière, son répertoire. Le premier parlerait sans doute des mélodies, des couleurs musicales, ou des formidables possibilités d’harmonisation. Pour le second, en revanche, c’est le répertoire de Jacques Brel, la plus belle partition qui soit pour un interprète. Quand un jazzman et un chanteur s’allient pour mettre en valeur ensemble l’oeuvre du grand Jacques “à leur sauce”, ils nous livrent avec émotion la réalisation d’un fantasme commun : réentendre les chansons de Brel là où elles sont chargées de sens… sur scène!
Les Suivants jouent Brel / Le BIJOU – Toulouse 31)
Les Suivants, c’est la rencontre de Baptiste Dubreuil, pianiste jazz, et de Valérian Renault, interprète virtuose. Deux artistes partageant un goût prononcé pour Jacques Brel, et qui ont l’audace d’arranger et d’interpréter, à leur manière, son répertoire. Le premier parlerait sans doute des mélodies, des couleurs musicales, ou des formidables possibilités d’harmonisation. Pour le second, en revanche, c’est le répertoire de Jacques Brel, la plus belle partition qui soit pour un interprète. Quand un jazzman et un chanteur s’allient pour mettre en valeur ensemble l’oeuvre du grand Jacques “à leur sauce”, ils nous livrent avec émotion la réalisation d’un fantasme commun : réentendre les chansons de Brel là où elles sont chargées de sens… sur scène!