La chanson est une source historique à part entière.
Art populaire, art social, elle témoigne de la société de son temps. Ainsi que l’exprime Serge Bernstein, elle est une forme d’expression culturelle qui s’adresse à tous, et qui permet d’étudier la manière dont une société a vécu tel ou tel événement.
Il est des chansons qui font l’histoire et des chansons qui disent l’histoire…
Que nous dit la chanson de ce que connaît la société française d’après-guerre de la Shoah?
Quelles évolutions cette mémoire connaît-elle de 1946 à aujourd’hui ?
Trois chanteurs, un musicien et une intervenante, contextualisent et interprétent des chansons qui sont autant de marqueurs de l’évolution de l’histoire de la mémoire de la Shoah en France. Les auteurs de ces textes : Jean Ferrat, Pierre Selos, Maurice Fanon, Silvain Reiner, Barbara, Serge Gainsbourg, Jean-Jacques Goldman, Georges Coulonges, Louis Chedid, Claude Lemesle, les Rita Mitsouko, Pierre Perret, Éric Marty, Anne Sylvestre, François Morel…
« Si l’on veut connaître les hommes, je crois sincèrement qu’il faut étudier leurs chansons, au même titre que leurs monuments, leurs outils et leurs livres. »
Claude Duneton (1998)
(Représentation scolaire + représentation tout public)
CINQ – Festival Féron’Arts (59)
Retrouvez les CINQ sur le Festival Féron’Arts !
Nicolas Jules le « powête » désobéissant qui croque à l’envi pommes, figues sucrées et raisins amers .
Chloé Lacan la multiple – la diva, la farceuse, la rebelle – qui nous promène à son bon gré de ris en pleurs .
Valérian Renault l’auteur exigeant pour qui l’écrit est vital et dont le cri nous est providentiel.
Guilhem Valayé, enfin, le conteur, étrange troubadour de nos temps supersoniques qui nous offre le luxe d’une délicatesse assumée.
Les « cinq mousquetaires des cinq doigts de la main » tournant la manivelle de nos boîtes à bonnes chansons. Prévert n’est jamais loin ni Verlaine ni Vian. Un set à cinq qui tendrait à prouver que « la solitude ça n’existe pas ? »
Colette MAGNY, feu continu – Scène nationale d’Orléans (45)
Dans l’univers de la chanson, Colette Magny se situait ainsi : « Dans la famille coup de poing, Ferré c’est le père, Ribeiro la fille, Lavilliers le fils. Et moi la mère ! ».
Le trio propose avec passion de (re)découvrir cette chanteuse fraternelle et généreuse, curieuse de tout, insoumise congénitale.
Son œuvre, entre tendresse et colère est superbement servie par la voix de Lila Tamazit, le piano de Vincent Viala et la batterie de David Georgelet.
CINQ – ouverture de l’ESTIVAL St Germain en Lay (78)
[…] Depuis plus de 30 ans, le festival, dédié à la chanson francophone, célèbre la musique dans toute sa diversité. Créé en 1988, l’Estival a pour principal objectif de soutenir les artistes émergents, et devenir ainsi Le rendez-vous incontournable dédié à la musicalité de la langue française et de ses auteurs. […]
Retrouvez les CINQ en ouverture de l’ESTIVAL!!
Nicolas Jules le « powête » désobéissant qui croque à l’envi pommes, figues sucrées et raisins amers .
Chloé Lacan la multiple – la diva, la farceuse, la rebelle – qui nous promène à son bon gré de ris en pleurs .
Valérian Renault l’auteur exigeant pour qui l’écrit est vital et dont le cri nous est providentiel.
Guilhem Valayé, enfin, le conteur, étrange troubadour de nos temps supersoniques qui nous offre le luxe d’une délicatesse assumée.
Les « cinq mousquetaires des cinq doigts de la main » tournant la manivelle de nos boîtes à bonnes chansons. Prévert n’est jamais loin ni Verlaine ni Vian. Un set à cinq qui tendrait à prouver que « la solitude ça n’existe pas ? »
Première de Colette MAGNY, feu continu – Péniche le Marcounet
Colette Magny: le trésor le mieux caché de la chanson française
Lila Tamazit, chant, David Georgelet, batterie, Vincent Viala, piano.
Dans l’univers de la chanson, Colette Magny se situait ainsi : « Dans la famille coup de poing, Ferré c’est le père, Ribeiro la fille, Lavilliers le fils. Et moi la mère ! ».
Le trio propose avec passion de (re)découvrir cette chanteuse fraternelle et généreuse, curieuse de tout, insoumise congénitale.
Son œuvre, entre tendresse et colère est superbement servie par la voix de Lila Tamazit, le piano de Vincent Viala et la batterie de David Georgelet.
JEAN YANNE, Bach to Twist – Espace de Montission (45)
En ouverture de la Saison Culturelle de St Jean le Blanc..
Les SUIVANTS jouent Brel – Auditorium de la Médiathèque d’Amilly (45)
Les Suivants, c’est la rencontre de Baptiste Dubreuil, pianiste jazz, et de Valérian Renault, interprète virtuose. Deux artistes partageant un goût prononcé pour Jacques Brel, et qui ont l’audace d’arranger et d’interpréter, à leur manière, son répertoire. Le premier parlerait sans doute des mélodies, des couleurs musicales, ou des formidables possibilités d’harmonisation. Pour le second, en revanche, c’est le répertoire de Jacques Brel, la plus belle partition qui soit pour un interprète. Quand un jazzman et un chanteur s’allient pour mettre en valeur ensemble l’oeuvre du grand Jacques “à leur sauce”, ils nous livrent avec émotion la réalisation d’un fantasme commun : réentendre les chansons de Brel là où elles sont chargées de sens… sur scène !
Quel que soit le lieu, chaque spectateur est aussitôt happé par l’émotion que suscitent ces deux musiciens. Une chance rare de (re)découvrir le Grand Jacques et la force de ses textes plus de trente ans après sa mort.
Damédom / Lamotte-Beuvron (45)
DAMÉDOM – CONCERT & BAL
orchestre improvisé de guinguette chic
Un regroupement enjoué de talents autochtones, qui fait de la chanson à danser, à rire, à émouvoir, ou juste à écouter avec bonheur..
Des reprises de tous horizons, de la guinche musette aux chansons de crooner, avec un soupçon de jazz manouche pour relever le tout. Un concentré de bonne humer à partager sans modération.
Avec Aimée Leballeur, Valérian Renault, Fred Ferrand, Pascal Barcos, Éric Eichwald
Quand la Chanson se souvient de la Shoah / Les Bordes (45)
La chanson est une source historique à part entière.
Art populaire, art social, elle témoigne de la société de son temps. Ainsi que l’exprime Serge Bernstein, elle est une forme d’expression culturelle qui s’adresse à tous, et qui permet d’étudier la manière dont une société a vécu tel ou tel événement.
Il est des chansons qui font l’histoire et des chansons qui disent l’histoire…
Que nous dit la chanson de ce que connaît la société française d’après-guerre de la Shoah?
Quelles évolutions cette mémoire connaît-elle de 1946 à aujourd’hui ?
Trois chanteurs, un musicien et une intervenante, contextualisent et interprétent des chansons qui sont autant de marqueurs de l’évolution de l’histoire de la mémoire de la Shoah en France. Les auteurs de ces textes : Jean Ferrat, Pierre Selos, Maurice Fanon, Silvain Reiner, Barbara, Serge Gainsbourg, Jean-Jacques Goldman, Georges Coulonges, Louis Chedid, Claude Lemesle, les Rita Mitsouko, Pierre Perret, Éric Marty, Anne Sylvestre, François Morel…
« Si l’on veut connaître les hommes, je crois sincèrement qu’il faut étudier leurs chansons, au même titre que leurs monuments, leurs outils et leurs livres. »
Claude Duneton (1998)
(Représentation scolaire + représentation tout public)
Valérian Renault / Printemps de la Chanson – Moulins la Marche (61)
Valerian Renault est un auteur-compositeur- interprète authentique et délicat, doté d’un charisme éclatant. Après douze années de tournées françaises et internationales à la tête des « Vendeurs d’enclumes » (dont le Printemps de la Chanson en 2011 !), cinq albums et de nombreux prix (Chorus des Hauts de Seine, Alors Chante, Moustaki,…), Valérian poursuit sa route. On a pu apprécier son talent lors du concert du groupe CINQ en début de saison, mais cette fois, c’est en solo, armé de sa guitare, qu’il livre ses chansons. Son premier album « Laisse couler », sorti en 2015 a été primé d’un coup de cœur de l’Académie Charles Cros. En concert, grâce à son interprétation magistrale, Valérien Renault confirme la force comme la finesse de son écriture et de sa voix. Et joue avec les mots autant qu’avec nos émotions.
Quand la Chanson se souvient de la Shoah / Münster (Allemagne)
La chanson est une source historique à part entière.
Art populaire, art social, elle témoigne de la société de son temps. Ainsi que l’exprime Serge Bernstein, elle est une forme d’expression culturelle qui s’adresse à tous, et qui permet d’étudier la manière dont une société a vécu tel ou tel événement.
Il est des chansons qui font l’histoire et des chansons qui disent l’histoire…
Que nous dit la chanson de ce que connaît la société française d’après-guerre de la Shoah?
Quelles évolutions cette mémoire connaît-elle de 1946 à aujourd’hui ?
Trois chanteurs, un musicien et une intervenante, contextualisent et interprétent des chansons qui sont autant de marqueurs de l’évolution de l’histoire de la mémoire de la Shoah en France. Les auteurs de ces textes : Jean Ferrat, Pierre Selos, Maurice Fanon, Silvain Reiner, Barbara, Serge Gainsbourg, Jean-Jacques Goldman, Georges Coulonges, Louis Chedid, Claude Lemesle, les Rita Mitsouko, Pierre Perret, Éric Marty, Anne Sylvestre, François Morel…
« Si l’on veut connaître les hommes, je crois sincèrement qu’il faut étudier leurs chansons, au même titre que leurs monuments, leurs outils et leurs livres. »
Claude Duneton (1998)