« […]Ici, une seule guitare électrique, un pied de micro, et un homme. Enfin… l’homme. […] Valérian Renault, c’est entendu, a une voix et pas n’importe laquelle – on en reparlera –, mais à la limite on s’en ficherait presque. Parce que ce qui reste, ce sont ses textes. Ses vers regorgent de ce qu’il se fait de plus rare : l’inattendu intelligent qu’on adore savoir par cœur et se le fredonner. Des rythmes installés qu’il aime casser, posant la rime à l’endroit malaisé du poème, avec cette maligne habitude qu’il a de changer en princes tous les crapauds qu’il croise. »
Lise Facchin pour les Trois Coups.