Le plus souvent c’est seuls qu’ils écrivent et composent ; seuls qu’ils se produisent s’accompagnant eux-mêmes :

Imbert-Imbert le contrebassiste-chanteur dont la plume-métronome oscille sur fond de révolte de la nostalgie des hiers à des lendemains possiblement heureux .

Nicolas Jules le « powête » désobéissant qui croque à l’envi pommes, figues sucrées et raisins amers .

Chloé Lacan la multiple – la diva, la farceuse, la rebelle – qui nous promène à son bon gré de ris en pleurs .

Valérian Renault l’auteur exigeant pour qui l’écrit est vital et dont le cri nous est providentiel.

Guilhem Valayé, enfin, le conteur, étrange troubadour de nos temps supersoniques qui nous offre le luxe d’une délicatesse assumée.

Aujourd’hui, CINQ c’est le bonheur d’avoir pu réunir la fine fleur de la nouvelle scène française lié à l’étonnement d’une première fois :

les « cinq mousquetaires des cinq doigts de la main » tournant la manivelle de nos boîtes à bonnes chansons. Prévert n’est jamais loin ni Verlaine ni Vian. Un set à cinq qui tendrait à prouver que « la solitude ça n’existe pas ?  »

Les Suivants, c’est la rencontre de Baptiste Dubreuil, pianiste jazz, et de Valérian Renault, interprète virtuose. Deux artistes partageant un goût prononcé pour Jacques Brel, et qui ont l’audace d’arranger et d’interpréter, à leur manière, son répertoire. Le premier parlerait sans doute des mélodies, des couleurs musicales, ou des formidables possibilités d’harmonisation. Pour le second, en revanche, c’est le répertoire de Jacques Brel, la plus belle partition qui soit pour un interprète. Quand un jazzman et un chanteur s’allient pour mettre en valeur ensemble l’oeuvre du grand Jacques “à leur sauce”, ils nous livrent avec émotion la réalisation d’un fantasme commun : réentendre les chansons de Brel là où elles sont chargées de sens… sur scène!

Les Suivants, c’est la rencontre de Baptiste Dubreuil, pianiste jazz, et de Valérian Renault, interprète virtuose. Deux artistes partageant un goût prononcé pour Jacques Brel, et qui ont l’audace d’arranger et d’interpréter, à leur manière, son répertoire. Le premier parlerait sans doute des mélodies, des couleurs musicales, ou des formidables possibilités d’harmonisation. Pour le second, en revanche, c’est le répertoire de Jacques Brel, la plus belle partition qui soit pour un interprète. Quand un jazzman et un chanteur s’allient pour mettre en valeur ensemble l’oeuvre du grand Jacques “à leur sauce”, ils nous livrent avec émotion la réalisation d’un fantasme commun : réentendre les chansons de Brel là où elles sont chargées de sens… sur scène!

Les Suivants, c’est la rencontre de Baptiste Dubreuil, pianiste jazz, et de Valérian Renault, interprète virtuose. Deux artistes partageant un goût prononcé pour Jacques Brel, et qui ont l’audace d’arranger et d’interpréter, à leur manière, son répertoire. Le premier parlerait sans doute des mélodies, des couleurs musicales, ou des formidables possibilités d’harmonisation. Pour le second, en revanche, c’est le répertoire de Jacques Brel, la plus belle partition qui soit pour un interprète. Quand un jazzman et un chanteur s’allient pour mettre en valeur ensemble l’oeuvre du grand Jacques “à leur sauce”, ils nous livrent avec émotion la réalisation d’un fantasme commun : réentendre les chansons de Brel là où elles sont chargées de sens… sur scène!

  

Salle du TAHITI, dans le cadre de la PRÉSENTATION de SAISON du REZZO61

« Création en forme de récréation… ou de poire pour nos soifs.

Le plus souvent c’est seuls qu’ils écrivent et composent ; seuls qu’ils se produisent s’accompagnant eux-mêmes : Imbert-Imbert le contrebassiste-chanteur dont la plume-métronome oscille sur fond de révolte de la nostalgie des hiers à des lendemains possiblement heureux ; Nicolas Jules le « powête » désobéissant qui croque à l’envi pommes, figues sucrées et raisins amers ; Chloé Lacan la multiple – la diva, la farceuse, la rebelle – qui nous promène à son bon gré de ris en pleurs ; Valérian Renault l’auteur exigeant pour  qui l’écrit est vital et dont le cri nous est providentiel  ; Guilhem Valayé, enfin, le conteur, étrange troubadour de nos temps supersoniques qui nous offre le luxe d’une délicatesse assumée.

Aujourd’hui, CINQ c’est le bonheur d’avoir pu réunir la fine fleur de la nouvelle scène française : les cinq « mousquetaires des cinq doigts de la main tournant la manivelle » de nos boîtes à bonnes chansons. Prévert n’est jamais loin ni Verlaine ni Vian.

Un set à cinq qui tendrait à prouver que la solitude ça n’existe pas ? »

Retrouvez la fine fleur de la Chanson française contemporaine le 31 octobre à Trégueux !

Imbert-Imbert, le révolté nostalgique, Nicolas Jules le powête désobéissant, Chloé Lacan la diva, la farceuse, la rebelle, Valérian Renault la force et le style, Guilhem Valayé le conteur, le troubadour.

Un set à Cinq fait de complicité, d’humour, de chansons et d’amour..

Pour cette nuit un peu spéciale qui marque la fin de l’année celte, Bleu Pluriel, organisateur des Mots Dits, vous réserve une surprise!

 

 

Le Théâtre [troglo] du Rossignolet s’est établi dans une ancienne habitation troglodytique à Loches (“Ville d’Art et d’Histoire”).
C’est aujourd’hui un lieu modulable dévolu à la diffusion de l’art et de la culture, un cocon de pierre qui accueille une programmation éclectique : des expositions, des concerts, du théâtre, des conférences…

Le 03 novembre 2018, Valérian Renault viendra y livrer ses “vers acides, piquants, brillant parfois d’un givre narquois et brandissant l’insolence comme une vertu, qui font – c’est selon – rire à canines déployées ou dandiner de malaise sur les sièges […]. Provoc’ ? Certes, et même avec un plaisir gourmand”!!

Avec à ses côtés à l’accompagnement la guitare aux mille couleurs de Pascal Maupeu!!

 

Valérian Renault, en duo, sera en première partie de Paul Roman, au Théâtre Jean Marais de Saint Gratien, pour une superbe soirée chanson !!

Loges ProductionMai 68, je m’en souviens encore !

Cinquante ans après. Qu’en reste-t’il ?
Il y a dix ans lors d’une soirée à « l’Atelier » de Gérard, nous avions fêté le quarantième anniversaire.
Est-ce se répéter que de fêter le cinquantième ? Peut-être pas !

Pendant les années qui ont suivi l’évènement au fur et à mesure ont été publiés, articles, études et livres qui ont permis un éclairage nouveau.
Faire une soirée sur ce sujet en s’appuyant essentiellement sur les avancées sociétales issues de l’esprit de 1968, c’est ce qui nous intéresse et nous motive.

Les évolutions issues du bouillonnement des idées de cette époque sont
multiples, sans être exhaustifs l’on peut citer : nouvelle approche de la relation maître/élève, évolution du rapport des médias, presse, radio, télévision avec le pouvoir d’état, nouveau regard sur les détenus et les conditions de leur détention, regard différent sur la femme dans la société, sur le couple, sur la parentalité.

Toutes ces idées débattues dans la ferveur de Mai 68 influeront
considérablement pendant des années et à terme amèneront la réforme de l’Université et de la vie lycéenne, le vote sur la majorité à 18 ans, la réforme du divorce, la levée des blocages sur la contraception, l’autorisation de l’interruption de grossesse, l’abolition de la peine de mort ….

Un groupe de huit, neuf interprètes et musiciens illustreront en chanson ces évolutions

La Nuit Sans Retour 2018

– Une traversée nocturne et sauvage –

 

  • Ré-inventer, déplacer l’imaginaire collectif et les nombreux fantasmes qu’il charrie, faire surgir l’inouï au détour de rencontres artistiques éphémères et improbables, perdre le sens, retrouver le chemin et les saveurs, expérimenter dans la fugacité, vivre des instants insoupçonnés et uniques, réconforter et conforter le désir ardent d’être à proximité de l’oeuvre et de l’artiste, s’enivrer de poésie et de satire, rire, pleurer, chanter… Voilà le coeur battant de cette Nuit sans retour, imaginée spécialement pour le Festival d’Avignon. Fougue et sensualité sont le point commun des personnalités conviées aux côtés de Monsieur K. Les musiciens Anna Petrovna et Frédéric Chopine s’amusent à faire entendre leurs battements et emballements. De la partie : les créatures de la troupe  de Madame Arthur, Jonathan Capdevielle, comédien, chanteur, marionnettiste, metteur en scène et danseur, Dimitri Hatton, performeur, clown, comédien et musicien, Jeanne Plante, chanteuse inénarrable. La Nuit sans retour repousse l’aube, trouble les identités et ouvre un espace aux rêves et aux fantasmes, laissant la place à des invités de dernière minute, explorateurs eux aussi de cette aventure nocturne…

    Monsieur K
    Né à Orléans, Jérôme Marin, après des études au conservatoire de sa ville, invente en 2001 le personnage fondateur de Monsieur K, pour des projets solos ou collectifs autour du cabaret. Il collabore avec divers artistes (chanteurs, performeurs, danseurs, clowns, comédiens…), réalisant de nombreux spectacles, renouvelant ce monde nocturne de la chanson, du numéro, du fantasme et du travestissement, qui connaît un nouvel élan avec la réouverture du cabaret Madame Arthur à Paris en 2015.

  • Distribution

    Avec Antoine Bernollin (Anna Petrovna), Jonathan Capdevielle, Fred Ferrand (Frédéric Chopine), Dimitri Hatton, Jérôme Marin (Monsieur K), Jeanne Plante
    Et la troupe de Madame Arthur

    Conception Monsieur K

    Production

    Production Loges Production
    Coproduction Ville d’Orléans, Le Delirium
    Co-accueil Festival d’Avignon, Delirium