En avant-première du concert de CINQ à Arcueil le 1er février, retrouvez Valérian Renault pour un solo intimiste à la Brasserie de l’Arc.

Après douze années de tournées françaises et internationales à la tête des « Vendeurs d’enclumes », cinq albums et de nombreux prix (Chorus des Hauts de Seine, Alors Chante, Moustaki,…), c’est désormais armé de sa guitare, seul ou en duo avec le guitariste Pascal Maupeu, que Valérian livre ses chansons. Avec son premier album solo « Laisse couler », sorti en 2015 et déjà primé d’un coup de cœur de l’Académie Charles Cros, il confirme la force comme la finesse de son écriture et de sa voix.

 

 

 

De la chanson au jazz en passant par le hip-hop et le punk !!
Des histoires urbaines, des expériences de vie, des joies, des peines et des délires qui racontent la société actuelle et ses contradictions…
Chanté toujours avec les tripes, quand le français n’est pas sa langue maternelle, un mélange plein d’émotions qui provoque une certaine franchise, une naïveté, une crudité.

Tiziana Valentini – Chant, textes et musiques
Maxime Perrin – Accordéon, arrangements et musiques

tizianavalentini.com

De la chanson au jazz en passant par le hip-hop et le punk!!!
Des histoires urbaines, des expériences de vie, des joies, des peines et des délires qui racontent la société actuelle et ses contradictions…
Chanté toujours avec les tripes, quand le français n’est pas sa langue maternelle, un mélange plein d’émotions qui provoque une certaine franchise, une naïveté, une crudité.

Salle Antoine Vitez

TP12 € -TR8€, -de 26 ans, étudiants, RSA, chômeurs, personnes en situation de handicap

La chanson est une source historique à part entière.
Art populaire, art social, elle témoigne de la société de son temps. Ainsi que l’exprime Serge Bernstein, elle est une forme d’expression culturelle qui s’adresse à tous, et qui permet d’étudier la manière dont une société a vécu tel ou tel événement.
Il est des chansons qui font l’histoire et des chansons qui disent l’histoire…
Que nous dit la chanson de ce que connaît la société française d’après-guerre de la Shoah?
Quelles évolutions cette mémoire connaît-elle de 1946 à aujourd’hui ?

Trois chanteurs, un musicien et une intervenante, contextualisent et interprétent des chansons qui sont autant de marqueurs de l’évolution de l’histoire de la mémoire de la Shoah en France. Les auteurs de ces textes : Jean Ferrat, Pierre Selos, Maurice Fanon, Silvain Reiner, Barbara, Serge Gainsbourg, Jean-Jacques Goldman, Georges Coulonges, Louis Chedid, Claude Lemesle, les Rita Mitsouko, Pierre Perret, Éric Marty, Anne Sylvestre, François Morel…

 « Si l’on veut connaître les hommes, je crois sincèrement qu’il faut étudier leurs chansons, au même titre que leurs monuments, leurs outils et leurs livres. »

 Claude Duneton (1998)

 

Un trio d’explorateurs de la chanson cabaret des années 20 à nos jours, au travers d’un répertoire éclectique, intime et convivial. Un moment à partager en musique et en textes, drôles, tristes, acides et touchants comme les personnages qu’ils décrivent.

De Jean Yanne aux Nonnes Troppo, en passant par Juliette, Gilles, ou les Frère Jacques, une suite d’histoires et d’ambiances à une, deux ou trois voix, au son de la guitare. Des chansons comme des tranches de vie, à déguster sans modération !

 

 

Le plus souvent c’est seuls qu’ils écrivent et composent ; seuls qu’ils se produisent s’accompagnant eux-mêmes :
Imbert-Imbert le contrebassiste-chanteur dont la plume-métronome oscille sur fond de révolte de la nostalgie des hiers à des lendemains possiblement heureux.
Nicolas Jules le « powête » désobéissant qui croque à l’envi pommes, figues sucrées et raisins amers.
Chloé Lacan la multiple – la diva, la farceuse, la rebelle – qui nous promène à son bon gré de ris en pleurs.
Valérian Renault l’auteur exigeant pour qui l’écrit est vital et dont le cri nous est providentiel.
Guilhem Valayé, enfin, le conteur, étrange troubadour de nos temps supersoniques qui nous offre le luxe d’une délicatesse assumée.
Aujourd’hui, CINQ c’est le bonheur d’avoir pu réunir la fine fleur de la nouvelle scène française lié à l’étonnement d’une première fois :les « cinq mousquetaires des cinq doigts de la main » tournant la manivelle de nos boîtes à bonnes chansons. Prévert n’est jamais loin ni Verlaine ni Vian.
Un set à cinq qui tendrait à prouver que « la solitude ça n’existe pas ?  »
https://chantercestlancerdesballes.fr/cinq-authentique-victoire-de-chanson/

 

Le plus souvent c’est seuls qu’ils écrivent et composent ; seuls qu’ils se produisent s’accompagnant eux-mêmes :
Imbert-Imbert le contrebassiste-chanteur dont la plume-métronome oscille sur fond de révolte de la nostalgie des hiers à des lendemains possiblement heureux.
Nicolas Jules le « powête » désobéissant qui croque à l’envi pommes, figues sucrées et raisins amers.
Chloé Lacan la multiple – la diva, la farceuse, la rebelle – qui nous promène à son bon gré de ris en pleurs.
Valérian Renault l’auteur exigeant pour qui l’écrit est vital et dont le cri nous est providentiel.
Guilhem Valayé, enfin, le conteur, étrange troubadour de nos temps supersoniques qui nous offre le luxe d’une délicatesse assumée.
Aujourd’hui, CINQ c’est le bonheur d’avoir pu réunir la fine fleur de la nouvelle scène française lié à l’étonnement d’une première fois :les « cinq mousquetaires des cinq doigts de la main » tournant la manivelle de nos boîtes à bonnes chansons. Prévert n’est jamais loin ni Verlaine ni Vian.
Un set à cinq qui tendrait à prouver que « la solitude ça n’existe pas ?  »

 

 

Le plus souvent c’est seuls qu’ils écrivent et composent ; seuls qu’ils se produisent s’accompagnant eux-mêmes :Imbert-Imbert le contrebassiste-chanteur dont la plume-métronome oscille sur fond de révolte de la nostalgie des hiers à des lendemains possiblement heureux.
Nicolas Jules le « powête » désobéissant qui croque à l’envi pommes, figues sucrées et raisins amers.
Chloé Lacan la multiple – la diva, la farceuse, la rebelle – qui nous promène à son bon gré de ris en pleurs.
Valérian Renault l’auteur exigeant pour qui l’écrit est vital et dont le cri nous est providentiel.
Guilhem Valayé, enfin, le conteur, étrange troubadour de nos temps supersoniques qui nous offre le luxe d’une délicatesse assumée.
Aujourd’hui, CINQ c’est le bonheur d’avoir pu réunir la fine fleur de la nouvelle scène française lié à l’étonnement d’une première fois :les « cinq mousquetaires des cinq doigts de la main » tournant la manivelle de nos boîtes à bonnes chansons. Prévert n’est jamais loin ni Verlaine ni Vian.
Un set à cinq qui tendrait à prouver que « la solitude ça n’existe pas ?  »

 

Pendant plus de quarante ans, Jean Yanne s’est promené en homme libre dans le paysage radiophonique, télévisuel et cinématographique français.

Un esprit frondeur, cogneur parfois, tendre toujours.
Le répertoire de Jean Yanne, c’est l’improbable tentative de réconciliation des contraires :
le clergé et le monde ouvrier, Jean-Sébastien Bach et les yéyés, les flics et la philo, la télé et l’intelligence, le rire et la mélancolie…
Bach to Twist est un cocktail Yannesque de chansons et de textes pour célébrer l’absurde et fustiger la bêtise, une fantaisie régénérante et iconoclaste servie par Fred Ferrand, Valérian Renault et Aimée Leballeur au son de l’accordéon et de la guitare électrique.

« Je me presse de rire de tout de peur d’être obligé d’en pleurer. » Beaumarchais